Certaines molécules, non digérées et mal découpées par le système enzymatique, peuvent franchir la paroi intestinale pour se retrouver dans le flux sanguin. En présence d'une inflammation, elles pourront alors franchir la barrière hémato-encéphalique, et avoir un effet neuro-toxique dans le cerveau.
Les molécules comme celles dérivées du gluten ou des produits laitiers, telles que la caséine, ont des effets semblables à la morphine : des effets opioïdes très puissants qui agissent sur le développement du cerveau chez l'enfant et sur son bon fonctionnement chez l'adulte.
Dès 1986, le Pr. Reichelt, de l'hôpital d'Oslo en Norvège, rapporta des cas de guérison ou de forte amélioration parmi les enfants autistes traités par l'éviction de gluten et de caséine.
Cf Biocontact d'Octobre 2010